Et les 7 nains

Théâtre Magnetic

Théâtre d'objet / Tout public à partir de 8 ans
Et les 7 nains - Michel Boudru

Un spectacle ni vraiment court ni vraiment long mais bourré de technologies HYPER modernes

Être belle, c’est bien, mais être la plus belle, c’est dangereux. Pour ne pas risquer sa vie, Blanche-Neige
va devoir se cacher dans la forêt où elle trouvera des alliés de taille… enfin, de petite taille.
Après 3 petits cochons, le Théâtre Magnetic s’y met à deux pour démonter un autre conte, toujours en théâtre d’objets, toujours décalé.

Création et mise en scène : Bernard Boudru, Ingrid Heiderscheidt et Isabelle Darras
Jeu : Bernard Boudru, Ingrid Heiderscheidt et Estelle Franco (en alternance)
Scénographie et accessoires : Céline Robaszynski, Jean-Marc Tamignaux, Christine Moreau
et Bernard Boudru
Costumes : Clothilde Coppieters
Création des éclairages : Karl Derome dit Descarreaux
Photos et graphisme : Michel Boudru
Diffusion : My-Linh Bui

Jauge : 130
Spectacle à partir de 8 ans
Durée du spectacle : 35 min

2 représentations par jour
(1 spectacle toutes les 2 heures)

Montage : 1 h 30
Démontage : 45 min

ESPACE DE JEU
Profondeur 4 m Largeur 8 m (idéalement) Hauteur 3 m 50
Sol plat
Gradin ou gradin de fortune pour le public

RÉGIE
Prévoir la régie en salle derrière le dernier rang de spectateurs
Décor apporté par la compagnie
Prévoir une alimentation électrique

LUMIÈRE
Implantation : voir PLAN DE FEU
Conception : Karl Derome dit Descarreaux

  • « Un spectacle de théâtre d’objet intensément délirant, ou comment deux acteurs chamailleurs et très maladroits peuvent réinventer le célèbre conte en le transposant à l’ère du smartphone. Très enlevé, diablement drôle et inventif, pour se payer une belle tranche de rire. » Mathieu Dochtermann www.toutelaculture.com Septembre 2019

  • Dans Et les 7 nains, Bernard Boudru et Ingrid Heiderscheidt de la compagnie belge Théâtre Magnétic transposent le conte de Blanche Neige à l’époque des réseaux sociaux avec de simples jouets d’enfants et un humour délicieusement décalé. Anaïs Heluin (sceneweb.fr)